Ecole Psychanalytique de Bretagne

› Groupe de lecture du séminaire IX de J. Lacan " L’identification"

Régnier Pirard, 02 40 89 61 34. E-Mail : r.pirard@wanadoo.fr
Le 2ème mardi du mois à partir du 12 octobre au CFEJE, 102 rue St Jacques à Nantes.

Ce Groupe d'étude s'inscrit dans le cadre des activités de l'Ecole psychanalytique de Bretagne

Les personnes qui souhaitent inscrire leur travail à l’EPB ou s’inscrire dans un travail déjà commencé peuvent contacter : Jeanine ou Régnier Pirard, 02 40 89 61 34
E-Mail :r.pirard@wanadoo.fr

› Séminaire sur la Clinique psychanalytique du lien social.

Contact : Jeanine Pirard - Le Poupon (Tél. 02 40 89 61 34, e-mail : jrpirard@wanadoo.fr).

Responsable du Séminaire en 2010-2011 : Rénald Gaboriau.

Un vendredi par mois à partir du 17 septembre au CFEJE. Ce séminaire continuera de mettre à la question, via des textes théoriques et cliniques, les incidences du lien social postmoderne sur l’économie psychique.

› Séminaire d'introduction à la psychanalyse : Lecture de quelques textes fondateurs de Freud et de Lacan

Contacts : Christiane Jenn-Gestin (06 87 81 73 32) et Patrice Mallard (06 42 96 18 26)

Un jeudi par mois à partir d'octobre à 20h30

e-mail : christiane.gestin@wanadoo.fr ou patrice.mallard@free.fr

Lieu à définir en fonction du nombre de participants

› Conférences dans le cadre de l’Ecole Psychanalytique de Bretagne

Vendredi 26 novembre 2010 à 20h30 au CFEJE (102 rue Saint-Jacques, face à l’Hôpital Saint-Jacques)

Soirée-débat avec Jean-Pierre LEBRUN et Regnier PIRARD autour de leurs ouvrages respectifs : La condition humaine n’est pas sans conditions (Denoël, 2010) et Le sujet postmoderne entre symptôme et jouissance (Erès, 2010). Ils seront interrogés par Renald GABORIAU et Caroline GUENDOUZ-BARBARAS.

Jean-Pierre LEBRUN est psychanalyste et psychiatre à Namur, membre de l'Association Lacanienne Internationale.
Regnier PIRARD est psychanalyste, membre de l’Ecole psychanalytique de Bretagne, professeur de psychopathologie à l’université de Nantes

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Les horaires indiqués correspondent au début des conférences. Il est donc souhaitable d'arriver un peu à l'avance. La participation aux frais de conférencier est fixée à 10 € (étudiants: 5 €) à régler à l'entrée de la conférence. Entrée libre aux personnes inscrites aux enseignements de l'Ecole.

Vendredi 4 février 2011 à 20h30 au CFEJE (102 rue Saint-Jacques, face à l’Hôpital Saint-Jacques)

Conférence de Louis SCIARA / « Est-il pertinent de parler d’une clinique des banlieues ? »

Les problèmes cliniques repérables dans des banlieues défavorisées peuvent-ils faire enseignement pour la psychanalyse? S'agirait-il d'une pointe avancée de la clinique contemporaine?

Louis Sciara est psychiatre et psychanalyste à Paris. Il est membre de l'Association Lacanienne Internationale. Il est l'auteur de nombreux articles, notamment dans le Journal Français de Psychiatrie (JFP). Il publie chez Erès un ouvrage intitulé Banlieues. Pointe avancée de la clinique contemporaine (à paraitre en avril 2011)

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Les horaires indiqués correspondent au début des conférences. Il est donc souhaitable d'arriver un peu à l'avance. La participation aux frais de conférencier est fixée à 10 € (étudiants: 5 €) à régler à l'entrée de la conférence. Entrée libre aux personnes inscrites aux enseignements de l'Ecole.

Vendredi 25 mars 2011 à 20h30 au CFEJE (102 rue Saint-Jacques, face à l’Hôpital Saint-Jacques)

Conférence de Jean-Pierre LEBRUN : « Clinique de la famille bi-monoparentale »

Le rapport que nous avons à la parole ne semble plus avoir le même poids ; la prévalence du pastout phallique est souvent confondue avec celle d’un toutpas phallique et invite de ce fait à récuser l’instance phallique. S’en suit que le pacte institué par la parole ne constitue plus ce à quoi nous pouvons implicitement nous référer ; le pacte d’humanité commune s’est comme estompé. Quiconque doit soutenir une intervention en position de « père réel vivant » est dès lors en difficulté de légitimité, ceci pouvant entraîner ce que Lacan nomme à propos de Joyce, « une forclusion de fait » du père réel. L’enfant ouvre alors une perspective inédite à la mère : il lui donne, immédiatement accessible, ce qui manque au sujet masculin : l’objet même de son existence apparaissant dans le réel (Jacques Lacan, note sur l’enfant). Il s’agira d’identifier et d’explorer l’économie psychique qui résulte de ce dispositif et ce que celle-ci exige de penser supplémentairement pour le maniement du transfert.

Jean-Pierre Lebrun est psychiatre et psychanalyste à Namur, membre de l'Association Freudienne de Belgique et de l'Association Lacanienne Internationale. Il est l'auteur de Un monde sans limite, Erès, L’homme sans gravité, entretiens avec Charles Melman, Folio essais n°453, La perversion ordinaire, vivre ensemble sans autrui, Denoël, Clinique de l'institution Erès.

Cette intervention s'inscrit dans le cycle de conférences 2010-2011 : "Pourquoi la réalité est-elle toujours douteuse?"

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La participation aux frais est fixée à 10 € (étudiants: 5 €).
Entrée libre pour les personnes inscrites aux enseignements de l'Ecole.
Pour toutes informations complémentaires tel: 06.70.89.44.09.

› Journée d’étude organisée par la Formation continue de l’Université de Nantes

« Quel corps aujourd’hui ? Regards croisés Psychanalyse, Médecine, Philosophie »

Avec la participation de R. Barbaras (Paris 1 Sorbonne), , D.-R. Dufour (Paris 8), R. Pirard (Nantes), M.-J. Sauret (Toulouse Le Mirail), A. Vanier (Paris 7)

Le 9 avril 2011 (lieu à préciser)

Argument général de la Journée :

Dans sa formulation simple et ouverte, la question comporte plusieurs aspects que cette Journée d’étude, sans prétendre les cerner tous, tentera de mettre en tension épistémologique.
Un sujet qu’on peut dire « pas sans corps » est l’aboutissement des avancées philosophiques du siècle dernier, tant du côté de la phénoménologie que des approches pragmatiques du langage. La psychanalyse freudienne en porte à sa façon la trace évidente. Quant au « sujet pur parlant » du discours psychanalytique lacanien, rien ne le dispense d’avoir à se débrouiller dans le maquis des jouissances. C’est de ce point que rebondit la question.
Qu’en est-il du nœud vital à l’orée du XXIème siècle ?
En quelques décennies à peine, l’essor des techno-sciences a bouleversé nos manières d’être au monde jusqu’au plus intime du corps, devenu objet de fabrication, de réparation, de transformation quasi ad libitum. L’idée d’un corps-machine semble pouvoir s’actualiser. Fantasme ? Cauchemar ? Libération ?
Sans doute corps et biens ont-ils de tout temps fait l’objet de contrats, d’échanges ou d’exploitations. Quels tours prend la politique des corps dans une époque technologique doublée d’une marchandisation libre-échangiste ? On dirait que le marché se fait au détail, de pièces détachées d’un corps dont l’image éclate et se monnaie en pulsions partielles. Le temps n’est plus aux structures élémentaires de la parenté mais aux particules élémentaires d’une nouvelle érotologie, comme si faisait retour dans le réel des pulsions un long déni des sentiments.
D’où le repentir à la mode des neurosciences cognitives s’évertuant à étudier les émotions qui affectent nos pensées. Mais comment recoller le vase qu’on a soi-même brisé ? Ce serait peu honnête, tout au plus comique, de refiler à d’autres en un paquet-cadeau les morceaux regroupés que l’on aurait d’abord séparément emballés.
D’où la question radicale, dressée comme un défi pour cette Journée : Qu’est-ce qu’un corps humain ? Là-dessus, plus que jamais, il y a tout intérêt à susciter le dialogue voire la controverse entre psychanalyse, médecine et philosophie.

› D.U. Clinique Psychanalytique du Lien Social

Ecole Psychanalytique de Bretagne / Archives 2009-2010